Hasta Cuenca, pasando por Macas

Alors que je quitte Puyo sous la pluie et determine a m’enfuir au plus vite de cette ville (pas malin de commencer le stop a 16h mais je ne suis pas d’humeur a prendre ce genre de chose en consideration a ce moment-la), j’attends peu avant que la chance ne me sourisse a nouveau. En effet, je me fais embarquer par Vicente et sa femme, Graciela, jusqu'à Macas. Vicente et moi discutons tout le temps du trajet, environ 2h, et nous lions rapidement. Du coup, ce dernier m’invite a rester chez lui, indefiniment si je le souhaite, et je fais la connaissance de ses trois fils. Vicente est entrepreneur et possede plusieurs magasins a Macas. Sa maison est spacieuse et somptueuse et pour couronner le tout Vicente nous ouvre une bouteille de vin francais que nous degustons tranquillement affales sur le canape. Je crois rever ! En quelques instants je passe de la pluie au beau temps ! Apres manger il me presente ma chambre : lit double avec salle de bains privee. Pas mal.

Je ne pensais faire que passer a Macas mais je reste finalement la journee suivante que je passe surtout avec les trois frangins. Omar, 16 ans, est le plus locace et le plus intrigue par mon cas. Je visite un peu la ville la matinee et me retrouve dans la piscine d’un ami de Vicente l’apres-midi. Une journee tranquille qui s’acheve en grande discussion avec Vicente sur la politique equatorienne.

Vista desde el parque recreational de Macas

Avant de me deposer a la sortie de la ville le lendemain, Vicente m’emmene au sommet du mont qui surplombe la ville. Une jolie et a la fois mysterieuse vue sur les dernieres collines qui masquent l’enfer vert de l’Amazonie.

Vicente frente a las ultimas montanas antes de la Amazonia - Macas Mi pequeño amigo fernando y su tortuga - Macas

“Aun muchas gracias para todo Vicente! Un abrazo a tus hijos y a tu esposa, una grande cocinera!”

De Macas j’atteins rapidement Mendez grace a quelques rides plus ou moins interessants. J’y patiente une bonne heure avant d’obtenir un ride final de 4h a travers les montagnes a nouveau. Alors que pres de Mendez j’etais aux portes de la foret tropicale de l’Amazonie, je remonte donc progressivement vers la sierra et la ville de Cuenca dans laquelle j’atterris vers 17h.

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